













Porosite de l’arbre couché, 2022
Une instalation nait au sein de la fôret de fontainebleau, présence d’un dialogue établit un temps, les matieres sont glanées, assemblées en suspension, elles y flottent, Une série de figures dansent, autoportraits réalisées sur place. Les visiteurs sont invités à suivre un balisage pour trouver le lieu.
















LES CYCLES COMMUNS, partie un : Fôret de Fontainebleau, 2021
Un espace se forme au sein du lieu d’émergence des travaux, aprés plusieurs heures de progression nous arrivont à un camp. Il est formé par
les interactions. Enraciné, l’installation est partagé en communs, avec les individus, le milieu dans lequel elle reste un certain temps. Certaines piéces sont formées d’autoportraits, de prises de vues au sein de la fôret, par enfouissement, certaines permettent de s’abriter le temps d’un orage, d’autres sont enveloppées de cire d’abeille récolté dans les environs. Un lit et un corps sont placés sous un des abris, que le vent finit par soulever.










Enfouir, 2020
Qu’est ce que la fin ? J’ai fouiller la mémoire de mes années passées, sur les routes de l’espace possible.
A voir, à chercher.
La question de la disparition est souvent venue, comme une fin, ou plutôt un passage, une porte. En pratiquant l’art le passage est sans arrêt, la recherche est fait de ces portes qui nous montre de nouveaux mondes.
J’ai imprimé, scanné, reimprimé.. puis enfoui ces images, je les ai enterré sous terre, pour les rendre invisibles, pour me rendre invisible, et basculer soudainement dans l’imaginaire. Cette propre disparition, se présente souvent, elle fait naître une grande sensation de vérité. Durant ce pont entre visible et invisible, où se situe la fin ? Elle se manifeste dans la dissolution de mon individu.
Les pièces, espaces négatifs sont formées à l’intérieur du sol, sont ensuite déterrées, rituellement rincées, certaines sont laissées dans ce sol. Le procédé est répété, un certain nombre de fois.
Tous ces passages à travers la fin sont très importants, ils permettent ce saut dans l’imaginaire pour trouver ce qui apparait juste, après le passé. La fin s’exprime dans l’amour de la vérité, ces passages sont le juste souffle de la vie.
travaux in situ, plâtre, flore et faune scannées, jet d’encre sur papier, terre
dimensions variables, de 25x16x3cm à 220x56x25cm




















